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  • Photo du rédacteurJean-Claude Singla

Rush sur les maisons de campagne à moins de 100 kms de Montpellier.

Le marché immobilier dans l'Hérault est en pleine effervescence. Si les stations balnéaires concentrent historiquement la demande de résidences secondaires, dans l'arrière-pays la demande explose. Traditionnellement, la résidence secondaire dans la région, c'est l'appartement en bord de mer, mais depuis la levée du confinement, les maisons dans l'arrière-pays sont très demandées. Le cahier des charges ? Une maison de campagne, sans vis-à-vis et pas trop excentrée. Ce que les acquéreurs recherchent avant tout c'est de pouvoir profiter d'un espace extérieur et si possible d'une piscine. Avec l'essor du télétravail, certains acquéreurs se voient bien passer un jour de plus par semaine dans leur maison de campagne. Les prix des biens au nord de Montpellier sont plus accessibles que ceux en bord de mer. Des localités comme Gignac, Aniane ou Clermont-l'Hérault sont de plus en plus recherchées pour leur proximité avec Montpellier avec des prix divisés par deux. Si la tendance est à la verdure, les stations balnéaires de la côte méditerranéenne restent néanmoins incontournables. Elles continuent d'attirer de nombreux acquéreurs à Palavas-les-Flots ou la Grande-Motte. En revanche, il leur faut généralement se contenter de petites surfaces. Un appartement de près de 60 m² à deux pas de la plage se négocie autour de 270.000 euros en moyenne. Pour ce prix, dans l'arrière-pays, l'acheteur deviendra propriétaire d'une villa de 110 m² sur un terrain de 400 à 500 m². Alors plutôt bord de mer ou campagne ?


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